Prière noter que toutes les offres (propositions technique et financière, copies des diplomes , etc) dûment signées doivent impérativement etre envoyées à l’adresse e-mail mali.procurement@undp.org avec mention de la référence et intitulé du dossier. Votre proposition devra être reçue au plus tard le lundi 13 avril 2020 à 17H00 précises.
Le projet “Appui à la Sécurité Humaine au Nord Mali à travers le renforcement de la résilience des jeunes et des femmes” vise à (i) renforcer les capacités de résilience des populations les plus vulnérables, surtout les jeunes et les femmes des régions les plus touchées par la crise; (ii) promouvoir la coexistence pacifique, la paix, la protection des groupes les plus vulnérables et l’intégration de la sécurité humaine dans les programmes de développement et de redressement ; et (iii) améliorer l’accès des populations les plus vulnérables aux principaux services sociaux de base.
Financé à hauteur de 2 087 409,50 par les fonds de sécurité humaine des Nations Unies (UNTFHS), le projet se fonde sur les leçons apprises de la phase initiale du Programme Conjoint Jeunesse et Résilience (PCJR) au Mali. Outre la cible “jeunesse”, il prend en compte la promotion et la protection des femmes.
Les jeunes, les femmes et les autres groupes vulnérables des régions de Gao, Tombouctou et Kidal qui sont les zones d’intervention seront les principaux bénéficiaires. Les acteurs institutionnels de mise en œuvre (Gouvernement, Société Civile et Collectivités Territoriales) ont bénéficié également des opportunités de renforcement des capacités pour l’intégration effective des principes et objectifs de sécurité humaine dans les cadres du programme.
En janvier 2012, le Mali a connu une grave crise sécuritaire sans précédent. La faible présence de l’Etat dans les régions du Nord qui représentent 2/3 du territoire national et la porosité des frontières avec les pays limitrophes a conduit à l’occupation de cette zone par divers groupes armés terroristes.
Après plusieurs mois d’affrontements et de tensions, la signature, en juin 2013, de l’Accord Préliminaire de Ouagadougou entre le Gouvernement et une partie des groupes armés a permis la tenue des élections présidentielle et législatives sur l’ensemble du territoire national.
La signature en Mai 2015 de l’Accord pour la paix et la réconciliation nationale issu du processus d’Alger et sa mise en œuvre par le gouvernement suscite un réel espoir de faire la paix au Mali, bien que le pays soit toujours confronté à d’énormes défis.
On estime que sur les 19 millions de personnes menacées d’insécurité alimentaire et de malnutrition au Sahel, près de 4.6 millions vivent au Mali. Le conflit au Nord Mali a aussi touché des communautés déjà appauvries en raison des conditions climatiques défavorables liées aux changements climatiques.
Par ailleurs, les moyens d’existence des communautés de base souffrent encore de l’effet pervers du ralentissement des échanges transfrontaliers. L’insécurité a considérablement réduit l’accès aux marchés. La hausse des prix des denrées de première nécessité et la pertes des moyens de subsistance ont fortement réduit la capacité des ménages à acquérir la nourriture dont ils ont besoin.
Avec plus de 60% de la population ayant moins de 25 ans, on estime que les jeunes âgés de 15 à 40 ans constituent la majorité des déplacés et des réfugiés. En outre, selon les analyses des données du recensement général de la population et de l’habitat (INSTAT, 2009), le chômage est endémique et il touche surtout les jeunes de 18 à 35 ans (par exemple, avant la crise de 2012, le taux de chômage était de 55,4% et 51,4% à Tombouctou et Gao respectivement, contre 32,2% à Mopti).
Comme conséquence directe du conflit, l’accès aux services sociaux de base et à l’assainissement s’est nettement détérioré au Mali. Des analyses de la situation montrent que, dans le secteur des services sociaux de base et des infrastructures, il existe un accès limité aux réseaux de traitement et de fourniture d’eau potable, ainsi qu’un manque de facilités d’évacuation des déchets liquides. Etant donné la prévalence du VIH, des violences et abus sexuels dans un tel contexte de fragilité, les femmes et les filles constituent un groupe souvent exposé.
Dans le secteur de l’éducation, les efforts déployés au cours de ces dernières années ont conduit à une augmentation de 23% du nombre des écoles primaires et secondaires dans le pays. Cependant, des défis existent toujours.
L’analyse des insécurités humaines au Mali, et spécialement dans les régions du Nord, décrites ci-dessus montre que ces insécurités naissent de la pauvreté des populations et du sentiment d’exclusion et de marginalisation exprimé par certains groupes communautaires.
L’analyse des insécurités humaines au Mali montre que ces insécurités naissent de la pauvreté des populations et du sentiment d’exclusion et que les jeunes et les femmes sont des acteurs clés dans la stabilisation et le développement du Mali en général et des régions du Nord en particulier. Etant donné l’absence d’opportunités d’emploi pour ces jeunes, ils deviennent beaucoup plus vulnérables.
Ainsi, aider les jeunes à émerger comme acteurs de paix et agents du développement devrait être la pierre angulaire des interventions de sécurité humaine au Nord du Mali. Par ailleurs, les violences sexuelles faites aux femmes et aux filles sont aussi utilisées pour contrôler la gestion des ressources en l’absence de l’Etat limitant du coup l’accès des acteurs humanitaires et de développement aux zones de conflits pour une prise en charge psychologique, médicale et juridique.
Sur la base de l’approche genre du développement, les femmes devraient être soutenues et encadrées pour accroître leur prise de conscience quant à leur perception dans les efforts en matière de sécurité humaine.
A ce titre, les efforts destinés à promouvoir la résilience des femmes et des jeunes devraient être canalisés à travers des activités aussi variées que les initiatives de génération de revenus, de consolidation de la paix, d’accompagnement psychologique et d’accès aux services sociaux de base.
Les priorités nationales du gouvernement sont reflétées dans plusieurs documents cadres sur lesquels les Nations Unies alignent leurs interventions :
Ces documents de politiques stratégiques nationales ne mettent pas clairement en exergue l’approche de la sécurité humaine. Pourtant, ils traitent clairement de thèmes liés à la sécurité humaine.
Outre ces documents de référence, d’autres cadres d’intervention plus ciblés ont été élaborés et ils servent de guide pour les acteurs dans les contextes humanitaire et de redressement. C’est le cas du Programme de Développement Accéléré pour les Régions du Nord.
Sur la base des avantages comparatifs, les Nations Unies accompagnent les actions menées par le Gouvernement, en synergie et en complémentarité avec d’autres partenaires. Toutes les instances des Nations Unies au Mali (Agences et MINUSMA) ont conjointement préparé le Plan cadre intégré des Nations Unies pour l’aide au développement du Mali, dénommé UNDAF+ 2015-2019. Ce document regroupe toutes les interventions des Nations Unies au Mali, prend en charge les besoins et les aspirations des jeunes et des femmes d’une manière transversale en rapport avec les défis du redressement économique, de l’éducation, de la santé, y compris la santé sexuelle et reproductive.
Le programme ainsi proposé adopte clairement les principes clés de l’approche de sécurité humaine comme suit:
Multisectoriel : L’intervention proposée s’intéressera directement à de multiples secteurs concernant l’insécurité économique, personnelle, communautaire et de santé avec des effets positifs attendus sur la sécurité alimentaire, environnementale et politique.
Global : Le programme est global et basé sur une analyse holistique des composantes de la sécurité humaine. Il prend en charge ces composantes à travers des activités conçues et mises en œuvre par de multiples acteurs dont des acteurs nationaux (Gouvernement, OSC, collectivités territoriales) et les agences des Nations Unies telles que le PNUD, le FNUAP, la FAO, le BIT, l’OMS et l’UNICEF.
Centré sur les populations : La formulation du Programme fut participative et inclusive, surtout en ce qui concerne l’identification et les modalités de prise en compte des vulnérabilités et des groupes cibles (tels que les PDI, les réfugiés de retour, les ex-combattants, les jeunes, les femmes/filles et les personnes handicapées). Des acteurs clés comme les structures techniques gouvernementales, les collectivités territoriales et les OSC représentant les populations ont pris part au processus.
Spécifique au Contexte : Le programme est élaboré sur la base des objectifs des cadres nationaux de référence mais aussi sur les conclusions et recommandations d’une étude récente menée aux niveaux communautaire et des ménages, qui a identifié les besoins, les compétences et les opportunités pour une réintégration et pour un redressement socioéconomique rapide et durable.
Orienté vers la Prévention : Les interventions envisagées devront promouvoir des réactions de prévention, surtout dans le domaine de la sécurité communautaire, à travers des principes de sensibilité aux conflits, des principes de « ne pas faire du mal » afin de réaliser ses objectifs de paix et de résilience.
Le programme proposé vise à renforcer la sécurité humaine en suivant des mesures clés en matière de protection et de responsabilisation.
A cet effet, la réponse à l’insécurité humaine, en raison de son caractère multisectoriel au Nord du Mali, requiert des interventions intégrées à travers une approche de sécurité humaine avec une implication de plusieurs agences du système des Nations Unies. Cet aspect multi facette de la sécurité humaine explique, dans une large mesure, la participation de plusieurs Agences : PNUD, FNUAP, FAO, BIT, UNICEF et OMS.
Ce programme tel proposé, basé sur une combinaison de mesures de protection et de responsabilisation va susciter une plus grande collaboration entre de nombreux partenaires au Mali tout en assurant une allocation efficiente et cohérente des ressources sans une duplication des efforts, afin de fournir la réponse la plus appropriée en fonction des spécificités liées contexte.
Ainsi, le gouvernement du Mali en collaboration avec les acteurs de la société civile, les agences du système des Nations Unies, a mis en place des dispositifs destinés à satisfaire, dans l’urgence et avec efficacité, les besoins des populations vulnérables. Ceci s’est traduit, entre autres, par :
Ces diverses approches d’interventions conjointes ont permis de satisfaire efficacement les besoins urgents des populations dans les régions directement affectées par le conflit et d’engager une logique de stabilisation et ensuite le développement à moyen terme.
Les initiatives conjointes des Nations Unies mises en œuvre à travers les expériences passées et présentes montrent des réussites mais aussi des insuffisances et des défis à relever.
La nature multidimensionnelle de la sécurité humaine permet des réponses complémentaires variées pour faire face à la crise (humanitaire, sécuritaire, alimentaire, économique, religieuse et de protection sociale, etc.) qui sévit dans les régions du Nord. Elle permet aussi de mesurer les avantages comparatifs des divers partenaires dont les interventions simultanées – et souvent conjointes – aident à prendre en charge toutes les préoccupations des populations.
Le présent programme tentera de valoriser les résultats obtenus par les initiatives locales et de s’inspirer des évaluations déjà menées pour relever efficacement les défis rencontrés dans la mise en œuvre des systèmes et cadres de gestion conformément à ses différents objectifs ci-dessous :
Objectifs du Programme en matière de Sécurité Humaine
Objectif 1 de Sécurité Humaine : La résilience des jeunes, des autres groupes et communautés vulnérables est renforcée à travers des moyens d’existence durables et des opportunités économiques.
Objectif 2 de Sécurité Humaine : La résilience communautaire est renforcée à travers la promotion de la coexistence pacifique entre les membres des communautés et l’approche de sécurité humaine est effectivement intégrée dans les programmes de redressement et de développement des régions cibles.
Objectif 3 de Sécurité Humaine : Les membres de la communauté jouissent d’un meilleur accès aux services sociaux de base :
Objet, champ et objectifs de l’évaluation : Il s’agit d’une évaluation finale inscrite dans le document de projet. Elle se focalise sur les produits, les effets et les mécanismes de coordination du projet par les 06 agences des Nations-Unies impliquées et leurs partenaires nationaux d’exécution à savoir : (PNUD, UNICEF, UNFPA, FAO, BIT et OMS). Cette évaluation finale doit couvrir la période de mise en œuvre du projet depuis son lancement en Avril 2016 au 31 Décembre 2019.
Pour information, le projet pilote cité devait être clôturé en Mars 2019. Cependant, pour des raisons diverses (le retard dans le lancement, la situation sécuritaire et l’inaccessibilité de certains sites d’intervention, notamment la région de Kidal et en commun accord avec le secrétariat de l’unité de sécurité humaine, le projet a bénéficié d’une extension sans coût jusqu’au 31 Décembre 2019.
En plus de la conformité à la politique de l’organisation qui rend obligatoire les évaluations inscrites dans les accords de partenariat, l’objectif principal de la présente évaluation est d’accroître la redevabilité, la transparence et l’apprentissage au sein des bureaux de pays et de l’organisation.
Les résultats obtenus seront utilisés par les différentes parties prenantes du projet ainsi que l’unité de secrétariat de sécurité humaine pour tirer les leçons de bonnes pratiques de la mise en œuvre en vue d’améliorer les processus, les pratiques et les partenariats.
Cette évaluation finale permettra entre autres de :
Critères d’évaluation et questions indicatives clés : De manière spécifique, cette évaluation finale du projet doit répondre aux questions suivantes, sans se limiter à ces dernières :
Pertinence:
Efficacité
Efficience:
Durabilité
Coordination
Thèmes transversaux : égalité des sexes
Recommandations
Méthodologie :
Il s’agit d’une évaluation sommative du projet. La méthodologie finale devra émerger d’une approche participative par la concertation entre les équipes des agences concernées et de leurs partenaires de mise en œuvre, le gouvernement et les parties prenantes concernées, Elle devra tenir compte des indications contenues dans les documents de références des agences partenaires de mise en œuvre en matière d’évaluation et permettre de traiter des questions spécifiques aux principes directeurs de sécurité humaine et du genre.
D’une manière globale, la méthodologie devra comporter :
Une analyse documentaire : Elle consultera les documents pertinents relatifs à la mise en œuvre du projet (documents de programme de pays, plans stratégiques des agences, document de projet, PTA, textes législatifs et réglementaires, budgets, comptes rendus de réunions, décisions et instructions écrites, rapports de suivi, rapports de missions, comptes rendus des revues, monitoring médiatique, documents pertinents émanant d’autres parties prenantes, chronogramme, matériel de formation, plans logistiques, etc.).
L’approche méthodologique retenue, y compris le calendrier des entretiens, des visites sur le terrain et la liste des données qui seront utilisées pour l’évaluation doit être clairement présentée dans le rapport de démarrage et doit faire l’objet de discussions poussées et d’un accord entre les parties prenantes et les évaluateurs.
Une réunion de démarrage de l’évaluation sera organisée avec les membres du groupe restreint inter agence sous le lead du PNUD afin de clarifier les attentes autour de l’évaluation finale.
Produits de l’évaluation (livrables) :
Les produits attendus de cette évaluation sont les suivantes :
Déontologie de l’évaluation :
La présente évaluation sera réalisée dans le respect des principes énoncés dans les « Directives éthiques pour l’évaluation » du GNUE accessible sur le site http://www.uneval.org/document/detail/102. Le consultant doit veiller à sauvegarder les droits et la confidentialité des personnes fournissant les informations, par des mesures pour garantir la conformité avec les codes juridiques régissant la collecte et la publication de données. Le consultant doit également assurer la sécurité des informations collectées et prévoir des protocoles permettant de garantir l’anonymat et la confidentialité des sources d’information lorsque cela est requis. Les connaissances et les données acquises au cours du processus d’évaluation doivent par ailleurs être utilisées pour l’évaluation uniquement, à l’exclusion de tout autre usage sans l’autorisation expresse du PNUD et de ses partenaires.
Modalités d’exécution et rôles et responsabilités associées à l’évaluation
Cette évaluation sera la responsabilité du Représentant Résident du PNUD, sous la supervision du Représentant Résident Adjoint de programmes du PNUD avec l’appui du Conseiller au Programme/Chef Cluster Environnement et Développement Durable. Il veillera au respect de la politique d’évaluation, des normes et standards des organisations partenaires, sans compromettre l’indépendance de l’équipe d’évaluation. Un groupe de référence composé des points focaux des agences et des parties prenantes clés sera mis en place pour la validation de tous les livrables de la mission.
Pour faciliter le processus d’évaluation, l’équipe du projet va aider à assurer le contact entre l’équipe d’évaluation, les bénéficiaires, la cellule de coordination du programme conjoint, le Comité technique de suivi du projet et les principales parties prenantes. Pendant l’évaluation, l’équipe de projet aidera à identifier les partenaires clés à interviewer par l’équipe d’évaluation et fournira les moyens logistiques nécessaires. De manière spécifique, les rôles et responsabilités sont les suivants :
Représentant Résident
Coordinateur du projet
Groupe de référence de l’évaluation
Partenaires de mise en œuvre (Agences des Nations Unies et le Gouvernement)
L’équipe du projet
Evaluateur
Calendrier du processus d’évaluation et modalité de paiements/ Modalité de paiements
Les paiements se déclinement comme suit :
Délivrables Délai (cumulé) % Validation
1ère Tranche : Validation du rapport initial 05 jours 25% PNUD
2ème Tranche : Remise du rapport provisoire 12 jours 50% PNUD
3ème Tranche : Remise du rapport final validé + proposition du plan d’action pour la mise en œuvre des recommandations 23 jours 25% Groupe restreint inter agence
TOTAL 100%
La consultation se déroulera durant 30 jours ouvrables du 13/04/2020 au 22/05/2020, soit sur une période de 40 jours
Annexes des TDRs:
Cadre de résultats et théorie du changement de l’intervention. Fournit de plus amples informations sur l’intervention à évaluer.
Principales parties prenantes et partenaires. Une liste des principales parties prenantes et des autres personnes à consulter, avec des informations concernant l’organisation dont elles dépendent et leur importance pour l’évaluation, ainsi que leurs coordonnées. Cette annexe peut également suggérer des sites à visiter.
Documents à consulter. Une liste des documents et sites Internet importants et que doivent lire les évaluateurs au démarrage de l’évaluation et avant de finaliser la structure de l’évaluation et le rapport de démarrage. Il faut se limiter aux informations essentielles dont a besoin l’équipe d’évaluation. Exemple de sources de données et de documents :
Tableau 5. Modèle de matrice d’évaluation
Critère d’évaluation correspondant Questions clés Sous questions spécifiques Sources de données Outils/ méthodes de
collecte des données Indicateurs/
Norme de réussite Méthode d’analyse des données
Programme des activités, étapes et livrables. Sur la base du calendrier indiqué dans les TdR, les évaluateurs présentent le programme détaillé.
Format requis pour le rapport d’évaluation. Le rapport final doit inclure, sans nécessairement s’y limiter, les éléments indiqués dans les critères de qualité des rapports d’évaluation (cf. annexe 7).
Code de conduite. Les unités de programme du PNUD doivent demander à chaque membre de l’équipe d’évaluation de lire avec attention et de confirmer par leur signature leur adhésion au «?Code de conduite des évaluateurs dans le système des Nations Unies?», qui peut être annexé au rapport d’évaluation.
Approbation des Termes de Référence de l’évaluation finale
Le profil du /de la consultant (e) et compétences requises :
Plus spécifiquement, il aura le profil suivant :
Education :
Expérience :
Langues requises :
PS : Les candidatures féminines sont fortement encouragées.
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